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« Mon chat retrouvé à 650 km »

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24/11/2016 à 15:54:17
nougat
nougat bravo super quelle belle histoire isabelle vous avez eu de la chance je salut la dame d'avoir eu de la persévérance cela nous donne a réfléchir pour faire identifier nos boule de poil bonne journée a tous
26/11/2016 à 14:17:53
nabucho
Que d'émotions! J'ai du mal à voir les caractères sur mon écran.
Comme quoi un véto ne se blinde jamais assez le coeur pour pouvoir soigner la souffrance, la détresse et le dénuement animal sans avoir parfois envie de tout envoyer pèter!
Celà me rappelle les débuts de mon association "Chats Disparus du Lot & Garonne" en 1989.
Un chaton siamois de 5 mois, tatoué, avait mystérieusement disparu d'une courette intérieure en ville, bien fermée par un portail en tôle pleine infranchissable, que tous les colocataires prenaient soin de bien fermer pour permettre à leurs animaux de librement circuler dans cet espace sécurisé.
Nous avons imprimé des avis de recherche placardés aussitôt dans tout le quartier, mentionnant le tatouage et le portrait robot de l'animal.
10 jours plus tard, une personne qui nourrissait les chats errants dans un terrain vague de la rive droite de la Gironde, nous signale, à 150 kilomètres de là, qu'un petit siamois, ce siamois, lui avait sauté dans les chevilles pour lui montrer son affection.
Pourquoi si loin? Un labo de médicaments du Bordelais, très proches de Blaye, y étaient certainement pour quelquechose. La législation en matière d'expérimentation animale n'était pas aussi contraignante à l'époque. Les expériences de toxicologie aigüe (dose létale à 50%) nécessitaient des effectifs importants de "tout venant" et pour la confidentialité de la "filiaire", l'incinérateur faisait le reste. Alors des rabatteurs peu scrupuleux constituaient des lots de chiens et de chats pour fournir le labo, ainsi que le CHU de Toulouse Purpan pour des expériences en sous-sol (cf procès d'Agen et son appel à Bordeaux).
Afficher précocément et massivement, et mieux aujourd'hui avec les réseaux d'alerte, peut dissuader certains malveillants de se risquer à être découverts par des propriétaires très MOTIVES.
Le chaton, clairement et visiblement identifié, aura été relâché par le passeur complice, juste avant sa livraison.
C'est pourquoi je préconise le tatouage plutôt que la puce électronique. Même si la puce est dorénavant le seul moyen accepté pour passer une frontière pour les jeunes chats nés depuis le 01/01/2012. Rien n'interdit d'ailleurs les deux identifications couplées.
Pour celà, prendre un rendez-vous avec votre véto, muni de la carte d'identification si votre chat est déjà identifié. Il procédera à l'autre identification (sous anesthésie pour le tatouage) et la déclarera par internet ou par formulaire papier en y cochant la case "identification complémentaire", et en y joignant la précédente carte. Une nouvelle carte qui regroupe les deux identifications sera ainsi réexpédiée au propriétaire en échange de l'ancienne.
Bravo Isabelle10 ! lol lol lol lol lol cry wink
08/01/2017 à 22:55:54
mamzellbulle
Une très belle histoire oui

smile
09/01/2017 à 10:07:14
chapachat
oui c'est une trés belle histore, et je salue cette dame qui a recueilli votre mimine, et vous par la même occasion d'avoir fait tout ce trajet, mais j'aurais fait de même. Laissez dire les gens qui doutent, l'important c'est votre bonheur, a vous et a cette petite minette.
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